dimanche 21 mars 2010

Blundetto's artwork



The very first drawing by Chaos for the Blundetto's artwork !

mardi 16 mars 2010

Robert Aaron "The Saadest Kiss" Feat. Anthony Joseph

the saddest kiss feat. Anthony Joseph by da vince

Robert Aaron by Nikolitsa Boutieros

Chronique IMPRO JAZZ




ROBERT AARON
Trouble Man
Heavenly Sweetness
(Robert Aaron : as-bs-fl-p-org-b / Cheick Tidiane Seck : org-Rhodes-p /arc Berthaux : b / Steve McCraven : dr / Roger Raspail : perc / Emilio del Monte : perc / José Palmer : g)

Ce Trouble Man de Robert Aaron, c’est un peu comme les CD’s Evidence de Pharoah Sanders. On n’en attendait aucun chef-d’uvre mais on savait que pouvait s’y glisser, ça et là, quelque précieuse pépite. Pépite que l’on retrouve avec Thembi, thème composé par un certain Pharoah Sanders et dans lequel le baryton de Robert Aaron retrouve l’enthousiasme communicatif de l’ancien partenaire de Coltrane. Oui, le monde est petit mais grand est le souffle de Robert Aaron. Souffle épais et rauque, parfois fragile mais toujours porté par une générosité sans faille.
Il y a du Gato Barbieri chez le saxophoniste (Flow Like a River, Sweet Obsession), un appétit d’ogre, un vif désir d’arpenter large et de s’échapper des codes trop convenus du jazzbisness. Son singulier parcours (des Contorsions de James Chance-White aux deux Bowie –Lester & David- en passant par Blondie et les B52’s) n’y est sans doute pas étranger. Un homme libre donc que ce Robert Aaron.
Bref, un disque de précieuses pépites. Par les temps qui courent, ce n’est déjà pas si mal.

lundi 15 mars 2010

Laurent Garnier Live feat. vocal Anthony Joseph

Pionnier de la musique électronique en France, il a fondé et dirigé le célèbre label français F Communications. Avec ses invités, il présente une création spéciale pour la Salle Pleyel.

C'est dans la chambre de son adolescence, que Laurent Garnier va exercer ce toucher qui fera bientôt de lui l'un des emblèmes de la musique électronique. Là, il entasse une sérieuse collection de vinyles, dans tous les styles, et commence à tâter de la platine. Mais c'est en traversant la Manche, en 1987, que le natif de Boulogne-sur-Mer va se faire un nom en devenant l'un des DJ résidents de l'Hacienda, le fameux club de Manchester. Il est DJ Pedro, il a le pitch tendance house. À son retour à Paris, en 1990, il s'illustre aux platines du Palace et du Boy, agitant sévèrement le dance-floor. Mais c'est avec le son de la techno, qu'il rapporte de ses voyages transatlantiques que Laurent Garnier impose son son. Il enchaîne les singles tandis que ses DJ sets affolent le tout Paris. Pionnier et référence jusqu'en Angleterre, il publie Shot In The Dark en 1994 sur son propre label, F Communications. C'est un premier succès, et surtout la première pierre d'un label qui va construire la légende de la French Touch électronique des années 1990. Celle des soirées Wake up qu'il organise au Rex, le temple parisien. Mieux, à l'approche du millénaire, il est l'un de ceux qui font entrer la musique électronique chez le grand public. Sans jamais se couper du cercle d'initiés, officiant aux platines de Radio Nova ; sans jamais oublier d'innover et de convier des musiciens sur scène, comme lors d'un mythique Olympia ou lors de ses collaborations avec le pianiste Bugge Wesseltoft. Comme encore ce soir, où ce passeur esthète et essentiel de la scène électroacoustique convie des complices à l'occasion d'une création spécialement pensée pour la Salle Pleyel.



http://liveweb.arte.tv/fr/video/Laurent_Garnier_a_la_Salle_Pleyel/

lundi 8 mars 2010

La compilation




Depuis plus de 3 ans, l’activisme musical d’Heavenly Sweetness essaye de montrer qu’il y a encore une place et un avenir pour des nouveaux labels en France et dans le jazz.
La passion est le moteur du label et la priorité a toujours été donnée à l’artistique; à l’ouverture d’esprit avant toute considération de rentabilité commerciale.
Une aventure avant tout humaine, avec son lot de joies, de déceptions mais surtout de rencontres avec des musiciens tout aussi passionnés de musique, sous toutes les formes, sans étiquettes, spirituelle et libre. Des hommes et des femmes aux parcours souvent atypiques, musiciens professionnels ou amateurs, pour qui la musique est l’essence de l’existence. Pour en citer quelques uns : Anthony Joseph, Doug Hammond, Monnette sudler, Anne Wirz, John Betsch, Doug Carn, Four tet, Stephane Ronget…

Cette compilation est l’occasion de présenter un catalogue déjà riche et de rassembler pour la première fois des morceaux sortis sur différents supports : vinyle, CD ou digital (et parfois devenus introuvables).
Comme les deux faces d’un 45 tours, elle est composée de deux CD, l’un Jazz et l’autre contenant des remixes et des covers.
A noter 3 titres en exclusivité pour fêter cette sortie : un remix de Monnette Sudler par Blackjoy, et un extrait de nos deux prochains albums, une reprise de « Trouble man » par le saxophoniste New yorkais Robert Aaron et un autre reprise de « Nautilus » par le talentueux et prometteur Blundetto.

Sortie le 15 Mars (Physique & Digital)
Distribution Discograph
Distribution Finetunes